Les premières épreuves écrites du brevet d’étude du premier cycle session 2020-2021 ont débutées ce lundi 14 juin sur l’ensemble du territoire ivoirien .Les élèves et les surveillants donnent leurs impressions au micro du journal le théoricien.
Marie Colombe, élève en 3ème au CSM John Wesley d’Angré
Mon centre d’examen était le collège Trayé Bernard
Pour moi les épreuves se sont bien déroulées.
Tout d’abord en physique chimie, j’ai trouvé le sujet très facile parce qu’il a été tiré du cours.
Cependant ,le sujet de français était un peu difficile surtout la dictée question.Par contre le texte argumentatif était abordable et le résumé était le plus facile mais, dans l’ensemble c’était bien
La composition s’est déroulée dans une bonne ambiance surtout.
Alex Kilian Kouamé, élève en 3ème à l’Institut scolaire Lavoisier
J’ai composé au Lycée Classique d’Abidjan.
Pour moi les épreuves de Français étaient très faciles contrairement à l’épreuve de physique chimie que j’ai trouvé difficile. Pour l’ambiance c’était morose.
Sara Amichia élève en 3ème au lycée Moderne de Cocody Angré
J’ai composé au collège les lauréades.
Nous avons commencés par la composition française il y’avais deux sujets au choix et j’ai choisi le texte argumentatif et c’était bien.
Après la composition française nous sommes passés en physique chimie mais malheureusement il y’avait deux leçons dans le sujet que nous n’avions pas vu parce que ces leçons ne faisaient pas partir du programme conducteur ohmique et Ion donc tout le monde étaient stressés.
Arsène Kouakou, surveillant au lycée Moderne 1 Abobo 2
Au lycée d’Abobo les examens se sont déroulés dans la discipline. Les épreuves ont commencées en retard. Je n’ai pas constaté de tricherie .Je pense que la sensibilisation du ministre est bien passée dans la zone. Aussi il y’a eu beaucoup de plainte par les élèves au niveau de l’épreuve de physique donc ils ont eu des difficultés à ce niveau. Les forces de l’ordre ont jouées leurs partitions correctement en empêchant l’accès du lycée aux personnes étrangères.
Perside Kouakou