Ce mercredi 17 avril 2024, s’est tenue la troisième journée de la semaine culturelle, mettant en exergue les talents de la faculté de Droit notamment lors d’un procès fictif et bien d’autres. C’est après les activités que plusieurs participants ont partagé leur ressenti sur la journée.
Ziao Daniel, Étudiant en Licence 2 de Droit :
« Cette journée a été profitable pour moi, car je n’ai jamais eu l’occasion d’assister à un concours de plaidoirie, mais aujourd’hui avec ce concours, j’ai eu l’occasion de voir comment se déroule un procès fictif. Donc je peux dire que je suis satisfait de l’initiative prise par l’UCAO ».
Aka Paul, Étudiant en Licence 1 de communication :
« J’ai bien aimé cette journée, parce qu’étant en communication, je n’ai jamais assisté à un procès et le fait d’assister à un procès fictif m’a apporté un plus aujourd’hui ».
Kassi Paul Wilfried, Étudiant en Licence 2 de Droit :
« En ce qui concerne cette journée, je l’ai vécue pleinement comme les années précédentes et chaque fois que la semaine culturelle a été organisée, il y a toujours eu de belles activités et chaque année apporte des nouveautés. Donc, j’ai été vraiment surpris par la qualité des prestations ».
Bailly Grâce, Étudiante en Licence 1 Communication :
« Cette journée était bien, parce qu’elle nous a permis de voir comment se déroule un procès fictif, et je pense que cela m’a aussi permis de connaître les différents enjeux qu’il y a dans un procès ».
Séri Koudio, Étudiant en Licence 3 de Droit :
« La journée était bonne dans la mesure où l’évènement principal qui était le procès fictif, nous a permis d’en apprendre davantage et je peux aussi dire qu’on a senti que les acteurs étaient un peu stressés mais dans l’ensemble, ça va ».
N’dri Guy Emmanuel, Étudiant en Licence 2 de Droit :
« Cette journée fut mémorable, car nous avons assisté à un procès fictif et cela nous a permis de connaître comment la cour agissait, ainsi que la manière dont le procureur et l’avocat se défendaient ».
Flabo Godsson, Étudiant en Licence 3 de Droit :
« Je pense que cette journée a été calme. Contrairement à hier, prenons le cas du concours de plaidoirie. Je pense que les participants n’ont pas réussi à nous captiver parce qu’il n’y avait pas de vigueur et on ressentait le stress chez eux aussi ».
Kah Jean David
